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la composition sociale de casablanca

                                                     Le tissu social de la Médina

De fortes disparités économiques existent à l'intérieur de ces groupes . Le petit nombre d'Eropéens vit majorairement dans l'aisance . 
Cependant, à la fin du XIX siécle, une immigration espagnole massive et pauvre change les données socio-économiques.
La plupart d'entre eux occupent des petits métiers : artisans , domestiques, employés etc... La fraction des juifs qui collabore avec les maisons étrangéres a un niveau de vie supérieur, mais le plus grant nombre vit des métiers traditonnels : savetiers, matelassiers, batiers, orfèvres. les plus miséreux et ceux qui arrivent à la ville les main vides et le ventre creux acceptent les taches : égoutiers,éboueurs...A part les représentants du Makhzen et les commerçants marocain, l'essentiel des Marocains du quartier des Tnaker vit dans des conditions difficiles. 
Ces données socio-économiques s'ajoutent aux composantes de la population pour donner un paysage urbin et des comprtements humains spécifique à la ville de Casablanca.La composition sociale de la ville se manifeste par un espace urbain compartimenté.Ce que Félix Weisgerber appelle du nom de ""Médina" est en fait le quartiers ou se trouvent les batiments administratifs: tribunal, douane,conslats étrangers.
 Ce quartier "bourgeois" ou résident les Européens, les représentants du Makhzen et les principaux commerçants musulmans ou israélites ,est situé aitour de Dar- el Makhzen ,au Nord de la ville .De trés belles demeures subsistent de nos jours.Ces sont des maisons à étage avecun patio et une citerne. Ces constructions  massives associent des styles disparantes; mélange; d'architecture marocain traditionnelle (riad, terrasse) et d'influences occidetales (colonne , porte cochére, loggia , balcon) .Al'extréme de fin du XIX siecle, les premiers hotels pour voyageurs s'inscrivent dant le tissu urbain déja trés serée. L'hotel de Mdrid est tenu par une Espagnole; madame Cavaillé dirige l'htel de France ; l'hotel l'Europe est situé face à l'un des cotés du consulat de france .Christian Houel, au début de ses " Aventures marocaines" , traverse le mellah alors qu'il vient de débarquer au début du mois d'aout 1907:Cette agglomératio surpeuplée les rues sont emcombrées de marchands de légumes, les bouchers débtent leur viande en plein vent toutes les boutiques, sont ouvertes. Les femmes jacassent sur le pas des portes ..."ACasablanca, moins qu'ailleurs au Maroc, le mellah n'est strictement délimité.
 Ce sont davantage les éléments de la socialbilité juive et les habitudes qui jistifiernt ce regroupement .
 le quartier juif est en grande partie construit en dur Les murs y sont peints de couleurs vives.quelques cabanes ou noualla le bordent cependant.
La pression démographique est forte, la densité au moins deux fois supérieure à celle des autres quartiers et l'espace public réduit au minimum , Vers l'ouest, le quartier des Tnaker ,est constitué de"noulla", cabanes et huttes en  roseaux ou s'abritent les paysans sans terre chassés par la misére .
Pourtant, des construction en dur remplacent progressivement l'habitat précaire qie se déplace en dehors des murs .

la pression démographique à casa

                                                    
                                                              ESPACE URBAIN

A l'intérieur des murs , la pression démographique est en plus en plus forte à la fin du XI X siècle .Rappelons qu'en un demi-siècle , de 1857 à 1907, la populations de Casablanca est passée de 1.000 à 25.000 habitants sans que le périmètre urbain ne change .
Un ensemble de règles s'applique à contrôler la croissance urbaine et limiter la concession du sol aux Marocains et aux étrangers. tout au long du XI X siècle, les  documents makhzéniens rappllent la propriété éminentte du Sultan sur la terre marocain. 
A Casablanca , en dehors des biens Habous, le Mkhzen ,en échange d'un taxe récogntive de ses drois appelée zina ,concéde aux Mrocain un usage des terrains pour construire toutes sortes détablessements ( maosons ,entrepots, cabanes ) .
les différents traités avec les nations eurpéennes depuis le XVIII siécle ont également porté sur
la question du doit d'appropriation du sol par les étrangers ou les protégés.
 La convention de Madrid 1880 leur reconnait un droit de propriété respectant les lois du Maroc dans les villes portuaires .
 L'acte D'Algésiras 1906 autorise l'acquisition de propriété dant les ports ouverts au commerce et sur un ressort de 10 Kilométres aleuteur. Pour rester ùaitre de de lévolution de la ville et répondre au manque d'espace , le Siltan consent , en 1892 , à étendre l'enceinte de la médina à l'oueste en créant un quartier noueau destiné aux établissements de la colonie européenne .
Mais ce quartier de Sour Jdid est considéré par les Européens comme trop éloigné du coeur des affaires et du port, et reste inoccupé .
 Déjà en 1876, le Consul de France recense prés de trente vastes constructions , localisées près du port ,au Nord de  la ville et concédées aux négociant européens . un total de 711 maison sont recensées en 1878 .Avec l'essor économique ,on ne trouve plus une boutique de libre , les espaces vides ont disparu sous les constructions nouvelles et l'exiguité des magasins pousse les commerçants à entreposer dans la rue , surtout à l'issue des récoltes . la ville tout entiére tenait dans l'enceinte de ses murailles crénelées ,flanquées de tours armées de vielles piéce d'un artillerie peu rerdoutable et percées de quatre portes fermées chaque nuit , du coucher au lever du soleil et ,le vendredi , pendant l'heure de la priére de midi. Elle se divisait en trois quartiers ! la Médina, le Mallah et le tnaker .Cest ainsi que le docteur Weisgerber résume l'aspect de la ville en 1900. l'espace urbain de Casablanca s'étent depuis les origines sur une quarantaine d'hectares entouré d'un mur qui délimite la ville et la protége . le rempart de la médina est percé de quelques portes qui sont fermées la nuit . la porte de la Mrine ( Bab el-Marsa) donne sur l'océan et la petite darse, partiallement aménagée soys hassan 1. La porte du Souk ( ou Bab el kebir) s'ouvresur le marché qui a liey à l'extérieur de la ville . Au -delà de cette place, des fondouks (caravansérail, hotels ) abritent les caravances venues de l'arriére-pays . 
La porte de Sidi belyout se situe également sur ce flanc de la muraille ou se déroule le marché aux gains . La quatriéme porte importante est  celle de Marrakech. 
Au -delà des murs, quelques fondouks et bientot quelques établissements industiels (moulin, fabrique de savon ...)se dévloppent à l'extreme fin du siécle. 
Les servses urbains ne suivent pas la croissance de la ville intra-muros. l'aeu potable vient par porteur depuis des sources voisines et l'évacution des eaux usées et des boues n'apas encore trouvé de solution durable. Alors, quelques riches commercants comme Neumann, Ferrieu, Bexn Griéve , Atalaya, pour échaper à la promiscuité de la ville, instalent dans la proche campane des résidences spcieuses sur des terres qu'ils exploitent ou font exploiter par leurs fermier marocain.

français et européens a casablanca

                                     difficiles conditions de vie
En 1856,il y a douze français sur quinze européennes à Casablanca.le relevé des personnes du vice-consulat en 1866 nous donne un état civil des vingt-deux membres de la communauté française.
ce sont majoritairement des hommes,célibataires,originaires  de l'hérault et des bouches-du - rhone(lodève,Marseille). A mesure que la population française croit,d'autres origines géographiques se distinguent.Nombreux sont ceux ayant déjà fait le pas de l'expatriation et qui viennent d'algérie ou de tunisie.
Il y a tout de même cinq enfants et quatre adolescent,c'est à dire que le croit de la population n'est pas seulement le fait de l'immigration mais également de l'excédent des naissances sur les décès.de nombreux mariages sont contractés sur place 
le cas le plus fréquent concerne les épousailles entre un européen et une servante espagnole.
la famille française dumont s'hipanise aisi en deux générations.la communauté étrangère passe d'une soixantaine de membres en 1868 à plus de deux cents en 1878.casablanca connait le plus fort accroissement de la population européenne et la colonie étrangère devient la plus importante du maroc après tanger.
Cette fois,les espagnols et les anglais sont les plus nombreux,les français ne représentent que16/100 du total.Cependant,la nationalité de certains européens est indécise dans les cas d'italiens ou d'espagnols venus de Gibraltar.la naturalisation se développe également avec la facilité des moyens de communication.Certain Marocains,juifs surtout,après un séjour à Gibraltar ou la dépression économique des années 80 provoque une réduction de la taille de la colonie étrangère qui passe à 190 membres.
La composante française est particulièrement affectée puisqu'il ne reste que douze français en 1884.la reprise économique au début du XX siècle favorise l'installation des étrangers,qui sont environ un demi-millier à la veille de l'occupation française sur une population totale de plus de 20.000 ames.les espagnols sont alors très largement majoritaires,alors que les français ne sont que trente -huit.
Les conditions de vie de cette communauté européenne sont difficiles.même s'il est possible de faire de bonnes affaires,la prospérité ne protège pasdu coléra.la communauté européenne a payé son tribut à l'épidèmie de 1868 puisque six personnes en sont mortes.un jeune médecin,le docteur guiol ,diplomé de la faculté de paris,appelé en catastrophe de magador par la colonie européenne de casablanca.
              

les premiéres populations à casa

        

                                                        MUSULMANS ET JUIFS

Les premières populations musulmanes installées par sidi mohamed ben abdallah occupent dans la ville de petites huttes,et disposent d'un droitde vaine pature et de culture en dehors des remparts.les autorités ont déja,bien entendu,construit quelques monuments urbains plus importans.
 A partir du milieu du XIX siècle,les conditions économiques changent.L'essor de la ville attire de nombreux marocains et des Européens.d'un demi-millier vers1850,le nombre d'habitans de casablanca passe à 1.000 en 1857,9.000 en 1885,  13.000
en 1892, 21.000 en 1900, pour atteidre au mins 25.000 en 1907.
 les Marocains musulmans y sont évidement largement majoritaires. qouique les statistiques soient peu précises, ils constituent certainlent les deux-tiers des habitants de la ville tout au long du demi-siécle qui précede le débarquement français .
Les migrants vinnent des tribus de la chaouia. ce sont majoritairement des médiouna, sur le territoire desqquel est construite Casablanca.
Mais l'ppelde la ville ,en temps de prospérité ,dépasse largement lr ressort de la chaouia, puisqu'un fort constingent vient des régions trés desément peuplées du sud de l"atlas (draaet sous).Ils vivent le plus souvent d'expédient:journaliers ,barcassier, hommes de  ppeine.Moins nombreux mais trés influents ,les commerrçants de féz ont des   représentants à casablnca et sont en relation avec les maisons étrangéres qui commercent avec le maroc. d'autres Marocains, des cheeuh, figurent parmi les premiers actionnaires de la compagnie paquot. la ville est placée sous l'autoriré civil, juridique et mikaitaire du caid de la tribu voiusne des Médiona. il est secondé par un khalifa ou suppléant, et des commis .
les quartiers sont controés par des moquaddem des veilleurs de nuit ,des gardes des portes , des canonniers et des gndarmes complétent le dispositif coercitif. la cadi ,interpréte de la loi coranique , nomme les candidats aux emplois des mosquées , mais pousse sa compétence jusqu'au réglement des affaires immmbilières avec le concours d'un adoul ,de notaire. un prévot des foctionnaires chériffients des revenus domaniaux,ceuxdes douanes et des biens Habous, assurent les reponsabilités financières. 
Enfain le rais el_marsa ou capitaine du port, a l'oel sur tout la trafic potuaire.
l'encadrement et la formation intellectuelle des enfants sont assurées dant les msid, les écoles élémentaires coranque la Medrasa donne à quelque-uns un formation plus poussée.
Attirées eux aussi par l'essor de l'activité économique, de nombreux juifs venus principalement de Mogador, d'Azmmeur ou de Rabar, s'installent à Casablanca. Comme dant les autres villes marocaines ,ils occupent un quartier spécifique de la médina ,le mellah. de cent cinquante en 1832, les juifs marocains sont prés de 5.000en 1900, soit environ le quart de la population de Csablanca.






le port de casablanca

                    Le développement économique 

Le développement économique et l'expansion européenne mettent Casablanca sur les grandes lignes de communication nouvelles. l'Angleterre, en tête de la révolution industriel , et la France ,qui colonise l'Algérie dès 1830, sont les principaux partenaires économiques du Maroc en cette seconde moitié du XI X siècle
le développment de la navigation à vapeur condamne les ports d'estuaire. 
le port de tanger s'impose au nord du pays ,tandis que le porte de rabat s'endort au profit de celui de Casablana .
la compagnie paquet de marseille ouvre un ligne régulère en 1862 entre Marseille et Casablanca avec une escale hebdomadaire. D'autres compagnies choisissent casablanca comme port privilégié au maroc .les steamers à hélices amortissent les frais de transport en chargement des produits européens pour les vendre sur le marché de casablanca .
En conséquence , le cout du transport ets divisé par trois dant la seconde moitié du XIXsiécle
les marocains profitent également de la multiplicité, de la rapidité et de la régularité de ces nouveaux  moyens de transport puisque les pèlerins pour la Mecque s'embarquent de plus en plus nombreux des ports de mogador, de Casablanca ou de tanger au détriment du voyage par les itinéres longs et couteeux.
Lors de son passage à casablanca ,le sultan moulay hassan écoute les doléances des marchands et des compagnies de transport. le quai sur laquel une grue à vapeur est posée .
ces travaux se révèlent toutfois l'importance grandissante du trafic .le docteur félix Weisgerber ,dans ce document essentiel sur "Ccasablanca et les chaouia en 1900",signale pour l'année 1898 un mouvement de 224 navires dans la rade de casablanca ,dont 189 à vapeur et 35 voiliers:56 français,52 allemand,
50 espagnols,43anglais,17portugais,3marocains,2danois et 1 russe,en 1906,la ville est devenue le premier port d'exportation du maroc,malgré un site médiocre et des infrastructures portuaires insuffisantes battues par la grande houle atlantique.
malgré quelques travaux dans le courant du XIX siècle,les navires attendent souvent au large les conditions favorables au déchargement et  les marchandises se perdent.des barcasses assurent encore,à l'aube du XX siècle,un transbordement délicat à cause da la barre. 
quant aux passagers des navires ayant hate de poser un pied ferme sur la terre marocaine,il leur faut attendre parfois des jours que la boule noire en tete du sémaphore soit abaissée pour voir arriver les barcassiers.avec une nécessaire fermeté,les marins happent le passager pour le déposer dans la barque qui,une fois son chargement complété,doit franchir la barre pour aller s'échouer sur le fond de la petite darse.
là,les passagers sont transportés à dos d'homme jusqu'au sec.un porte étroite et voutée donne accès à la ville.la douane est mal située par rapport à ces trafics.
tout le monde s'accorde sur la nécessité detravaux importants.en 1902,le sultan moulay abd-el-aziz décide la construction du port international de casablanca.

dar el-beida,casablanca

   

                                 LA RENAISSANCE DE LA VILLE
L'occupation humaine est très ancienne sur le site de Casablanca,mais c'est de l'époque médiévale que datent les premières mentions historiques.Ces sources sont plutôt rares ou évasives car la ville a connu une solution de continuité de son histoire durant trois siècles.
En outre,les aménagements urbains depuis deux siècles ont,en très grande partie,effacé les restes de ce passé.Les historiens et géographes arabes lui donnent le nom d'anfa,alors que les cartes et les texte européens la connaissent sous des noms dérivés:Anfa ou Anafé,Anif,Nafé etc...Les sources génoises s'intéressent à la fine laine des"mérinos".
C'est aussi un repère de corsaires que les portugaise fortement armés anéantissent en 1468,au point que Léon l'africaine,au XVI siècle,pense"qu'il est hors de toute espérance qu'elle puisse etre réhabitée".La ville s'éteint alors pour n'etre plus qu'un gite d'étape,un point de repère sur la cote.
Jusqu'au dernier tiers du XVIII siècle,les sources font état d'une ville fantôme.Louis Chénier,le père du poète,consul de France à salé,évoque"Anafé,qu'on appelle aujourd'hui dar-beyda habitée par quelques maures logés sous des cabanes".
En1769,le sultan Sidi mohamed ben abdallah(1757-1790),dont l'œuvre de rénovation du maroc ne sera jamais assez rappelée,reprend mazagan aux portugais.peu après,il décide de reconstruire l'antique place forte d'anfa pour compléter son
dispositif défensif atlantique entre rabat et magador.
le périmètre des remparts d'anfa est en gros conservé et l'espace intra-muros offre,pour un siècle,un vaste espace constructible.

FONDATEUR DE CASA

                               RELATIONS DIPLOMATIQUES

 Les relations diplomatiques du Maroc et de la France ont commencé en 1533, sous François I, par l'ambassade de pierre de piton auprès du sultan Ahmed ben Mohammed . 
le Sultan ouatasside de fez accorde aux navires du roi de France la liberté de navigation sur les mers limitrophes de son empire et la protection des personnes sur les cotes abordées.
 Aux XVII SI2CLE, les relations diplomatiques entre la France et le Maroc s'inscrivent entre  les luttes d'influence des puissances espagnoles et portugaise conquérantes des littoraux atlantiques. les contre-attaques victorieuses des sultans saadiens et leur diplomatie favorisent un rapprochement avec la France  après la signature d'un traité entre les deux puissances en 1559 les relations commerciales se développent.
les draps s'échangent contre du sucre dans les ports de la cote sud du Maroc,à safi en particulier.
la France de la renaissance délègue deux beaux humanistes comme premiers consuls au Maroc.
Le10juin1577,Guillaume Bérard,le médecin qui aurait guéri le sultan saadien abd-al-malek de la peste,devient"consul de la nation française.
Aux royaumes de Fez et du Maroc,pays,terres et seigneuries qui en dépendent"en respect de la lettre reçue d'Henry III.Arnould de L'Isle,médecin,premier titulaire de la chaire de langue arabe au collège de France en 1587 et soucieux de se perfectionner dans" la langue arabique,sans laquelle on ignorait bien des choses en médecin",assure lui aussi,pendant plus de dix ans,la double fonction de médecin d'ahmed el-Mansour et de consul de france à marrakech.

casablanca et la france

                                                      histoire commune
 Casablanca et la france ont une histoire commune , des destins croisés .dans le deuxième tiers XIX siècle,le premier étranger  à élire domicile à casablanca  est un français.
A mesure que casablanca prend de l'importance , nombreux sont  les Européens à s'installer durablement dans la ville.Ils participent à l'ouverture du maroc au monde des échanges.
Jusqu'en 1907,la part numérique des français est ralativement modeste,mais l'importance économique de cette communauté est forte.A la fin du XIX siècle,casablanca devient le reflet d'enjeux capitaux qui se jouent à paris,Londres,Madrid ou Berlin.
Le consulat de france de casablanca est le prisme par lequel passent le reflet des enjeux internationaux autant que les préoccupations quotidiennes de la communauté française.avec les événement fondamentaux qui se déroulent en 1907.
bombardement,débarquement,pénétration militaire-L'histoire de casablanca devient indissociable de L'histoire du maroc.Les conditions politiques et économiques changent rapidement.
Un flux important de population,majoritairement française, débarque.
Pendant la pèriode de  disparation du consulat (1915-1956)
qui recoupe pour l'essentiel celle du protectorat,nous avons privilégié les  descriptions de la ville et des lieux symboliques.
 Notre but n'était pas de recenser tout le patrimoine architectural de l'époque,mais d'insister sur la genèse d'un phénomène urbin unique au monde. 
la mise en place d'un ville nouvelle aussi amportante dans un temps aussi bref,l'histoire ,présente un intéret capital pour le maroc contemporain et pour l'histoire française.
En quelques années,dans bien des villes du maroc,un urbanisme a été é laboré avec pour référence l'expérience casablancaise.
La part prise par Lyautey dans ce remodelage du maroc a été importante.
L'ampleur des réalisations se retrouve dans les reliefs de la statue équestre qui trone dans les vjardins du consulat.
Dans la seconde moitié du XX siecle,le role des français diminues à casablanca.Notre travail ne présente alors que les grande ligne de l'expantion urbine.