la pression démographique à casa
ESPACE URBAIN
A l'intérieur des murs , la pression démographique est en plus en plus forte à la fin du XI X siècle .Rappelons qu'en un demi-siècle , de 1857 à 1907, la populations de Casablanca est passée de 1.000 à 25.000 habitants sans que le périmètre urbain ne change .
Un ensemble de règles s'applique à contrôler la croissance urbaine et limiter la concession du sol aux Marocains et aux étrangers. tout au long du XI X siècle, les documents makhzéniens rappllent la propriété éminentte du Sultan sur la terre marocain.
A Casablanca , en dehors des biens Habous, le Mkhzen ,en échange d'un taxe récogntive de ses drois appelée zina ,concéde aux Mrocain un usage des terrains pour construire toutes sortes détablessements ( maosons ,entrepots, cabanes ) .
les différents traités avec les nations eurpéennes depuis le XVIII siécle ont également porté sur
la question du doit d'appropriation du sol par les étrangers ou les protégés.
La convention de Madrid 1880 leur reconnait un droit de propriété respectant les lois du Maroc dans les villes portuaires .
L'acte D'Algésiras 1906 autorise l'acquisition de propriété dant les ports ouverts au commerce et sur un ressort de 10 Kilométres aleuteur. Pour rester ùaitre de de lévolution de la ville et répondre au manque d'espace , le Siltan consent , en 1892 , à étendre l'enceinte de la médina à l'oueste en créant un quartier noueau destiné aux établissements de la colonie européenne .
Mais ce quartier de Sour Jdid est considéré par les Européens comme trop éloigné du coeur des affaires et du port, et reste inoccupé .
Déjà en 1876, le Consul de France recense prés de trente vastes constructions , localisées près du port ,au Nord de la ville et concédées aux négociant européens . un total de 711 maison sont recensées en 1878 .Avec l'essor économique ,on ne trouve plus une boutique de libre , les espaces vides ont disparu sous les constructions nouvelles et l'exiguité des magasins pousse les commerçants à entreposer dans la rue , surtout à l'issue des récoltes . la ville tout entiére tenait dans l'enceinte de ses murailles crénelées ,flanquées de tours armées de vielles piéce d'un artillerie peu rerdoutable et percées de quatre portes fermées chaque nuit , du coucher au lever du soleil et ,le vendredi , pendant l'heure de la priére de midi. Elle se divisait en trois quartiers ! la Médina, le Mallah et le tnaker .Cest ainsi que le docteur Weisgerber résume l'aspect de la ville en 1900. l'espace urbain de Casablanca s'étent depuis les origines sur une quarantaine d'hectares entouré d'un mur qui délimite la ville et la protége . le rempart de la médina est percé de quelques portes qui sont fermées la nuit . la porte de la Mrine ( Bab el-Marsa) donne sur l'océan et la petite darse, partiallement aménagée soys hassan 1. La porte du Souk ( ou Bab el kebir) s'ouvresur le marché qui a liey à l'extérieur de la ville . Au -delà de cette place, des fondouks (caravansérail, hotels ) abritent les caravances venues de l'arriére-pays .
La porte de Sidi belyout se situe également sur ce flanc de la muraille ou se déroule le marché aux gains . La quatriéme porte importante est celle de Marrakech.
Au -delà des murs, quelques fondouks et bientot quelques établissements industiels (moulin, fabrique de savon ...)se dévloppent à l'extreme fin du siécle.
Les servses urbains ne suivent pas la croissance de la ville intra-muros. l'aeu potable vient par porteur depuis des sources voisines et l'évacution des eaux usées et des boues n'apas encore trouvé de solution durable. Alors, quelques riches commercants comme Neumann, Ferrieu, Bexn Griéve , Atalaya, pour échaper à la promiscuité de la ville, instalent dans la proche campane des résidences spcieuses sur des terres qu'ils exploitent ou font exploiter par leurs fermier marocain.
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