Nuit chaude
Casablanca, la nuit, cache son effervescence dans un calme
apparent.
Les points chauds sont concentrés à quelques endroits. La
prostitution est presque partout et à tous les niveaux.
Le luxe est à
Aïn Diab ou se terre dans les hôtels luxueux. Alors que sur les
boulevards du centre ville, de vieilles filles vivent à 20 ou 30
dirhams la passe. Les travestis eux, ont fait du parc de la ligue arabe
leur fief. Reportage.
CE qu’il y a de plus marquant dans la capitale économique, c’est l’ampleur que prend la prostitution. Quelque soient les endroits fréquentés la nuit, le commerce de la chair s’y est installé sous toutes ses formes.
CE qu’il y a de plus marquant dans la capitale économique, c’est l’ampleur que prend la prostitution. Quelque soient les endroits fréquentés la nuit, le commerce de la chair s’y est installé sous toutes ses formes.
Ici, il se fait discret, avec des
filles bien habillées et une clientèle prête à débourser une fortune
pour passer une soirée qui se terminera dans un loft, une chambre
d’hôtels ou même une luxueuse villa.
Cette clientèle se retrouve
surtout à Aïn Diab et dans les hôtels somptueux de la ville.
Mais,
ailleurs, l’offre est présentée, comme de vulgaires objets sur certains
grands boulevards de la ville tels Moulay Youssef, Anfa ou bien Hassan
II.
Si la clientèle est exclusivement masculine, l’offre quant à elle
touche aussi les garçons.
Pour faire le tour des points chauds de la
ville blanche, il est plus prudent d’être accompagné pour des questions
de sécurité.
Alors, avec notre photographe - qui fait aussi office de
garde du corps volontaire - nous parcourons les grandes artères de la
ville.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire